• De nos jours il est primordial de savoir se défendre ainsi que autrui, personne n’est à l’abri de subir une agression physique. Le bilan statistique de l’année 2017 précise qu’il y a eu en FRANCE une moyenne de 600 agressions physiques par jour déclarées (en commissariat), mais d’après les enquêtes de victimation il y aurait réellement 2400 personnes agressées physiquement (coups et blessures volontaires) par jour !
  • Il va de soit quand ont suit l’actualité et que l’on regarde ce bilan, que nous devons être capables de protéger notre intégrité physique et celle de nos proches par nos propres moyens.
  • Il faut savoir qu’il est très rare qu’un agresseur soit un combattant de haut niveau ou un expert en arts martiaux. Bien au contraire, les agresseurs sont violents mais ne pratiquent pas ou très peu les arts martiaux et sport de combat, de plus un agresseur va agir seulement s’il pense avoir le dessus.
  • De ce fait, quelques réflexes appris à l’entrainement peuvent vous permettre de vite riposter et d’éviter un drame.

  • Nous recherchons seulement l’efficacité, nous ne sommes pas des compétiteurs, nous ne cherchons pas à marquer des points, nous travaillons sur le monde de la rue, nous voulons survivre.
  • De ce fait nous apprenons dès les bases, les zones les plus sensibles du corps humain afin de neutraliser un agresseur, sous forme de frappes, pressions et casses, atteindre dès que possible les yeux, gorge, plexus, pubis, partie génitale, nuque, colonne vertébrale, petites et grandes articulations.
  • En plus d’utiliser ces zones sensibles, nous nous entraînons très souvent à main nue (gants lors de combats ou de risques potentiels). Pour maximiser les dégâts nous enseignons les frappes mains ouvertes (idéal pour les femmes) et les frappes avec une surface d’impact minime, par exemple avec une ou deux phalanges du poing,  les phalanges des doigts et les doigts pour les plus entraînés (nikité). En utilisant la réduction de surface d’impact et un bon angle, les mains nues deviennent des armes redoutables.
  • Bien évidemment beaucoup d’autres éléments plus ou moins communs sont enseignés pour parfaire l’apprentissage.
  • Le but recherché étant de finir un combat le plus vite possible tout en minimisant la dépense d’énergie. Nous restons dans la philosophie du but ultime du combat à un coup, essence même de notre art.
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  • Les cours sont faits pour convenir autant pour les novices que pour les gradés, chaque élève porte une ceinture qui détermine son grade, en fonction du grade l’enseignement sera simplifié ou complexifié.
  • Par exemple sur une technique de défense simple, le novice devra essayer de la reproduire à la vitesse qui lui convient. Pour le gradé, il devra la refaire à la vitesse d’une réelle agression, et/ou il lui sera demandé en plus des mouvements minutieux pour améliorer l’efficacité et faire évoluer la technique.
  • De ce fait les élèves novices et confirmés peuvent s’entraîner ensemble et progresser sur le même cours.
  • Venez nous rencontrer dans une de nos écoles : Contact
  • Nous privilégions toujours ce que le corps ressent, nous cherchons à vivre l’instant présent pour s’adapter en permanence à l’agression et avoir une richesse illimitée de mouvements pour riposter, contrairement à beaucoup d’autres enseignements qui répètent sans cesse les mêmes techniques, qui rendent les élèves robotisés et difficilement capables de s’adapter. Car le combat est une adaptation permanente !
  • Nous n’apprenons pas des techniques par-cœur, nous appliquons des principes qui sont universels sur toutes les techniques, c’est ce qui va faire la différence entre une technique qui marche ou pas. Quelques exemples de principe : travailler toujours au plus prés, travailler toujours avec le corps en entier (pas qu’un seul membre), utiliser toujours des forces opposées, et beaucoup d’autres…
  • Il faut aussi éveiller les capteurs du corps que nous possédons sur notre peau. Pour cela il nous arrive de travailler les yeux fermés et de nous fier qu’à ce que notre corps ressent, en close combat autant debout qu’au sol.
  • De là naîtra alors la décontraction et une amélioration de la vitesse de vos mouvements mais aussi une meilleure économie de votre énergie.

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  • La sécurité reste la priorité dans les cours tout niveau, la plupart des élèves devant travailler ou étudier le lendemain, il est donc primordial que chacun puisse retourner à son activité après l’entrainement.
  • Dès qu’il y a un risque potentiel les élèves mettent des mitaines et protège-dents. De plus chaque élève a pour consigne d’adapter son intensité au grade que porte son partenaire. Plus la ceinture est claire (blanc/jaune/orange/vert) plus l’intensité de l’attaque sera faible, et plus la ceinture est foncée (bleu/marron/noir) plus l’intensité de l’attaque sera forte.
  • Ainsi tout le monde peut s’entraîner ensemble, même lors des combats pleine puissance qui se font seulement sur volontariat. Les combattants portent  alors obligatoirement casque intégrale, mitaines, et la coquille pour ceux qui le souhaitent, avec un arbitre qui stoppe le combat au moindre risque de blessure.
  • De ce fait peu importe l’intensité que vous mettrez à l’entrainement, ce sera fait en sécurité.
  • Vous pouvez retrouver deux états d’esprit pendant les cours, le coté ludique avec des exercices sous forme de jeux pour développer de nombreuses qualités et aptitudes, mais aussi le coté “survie ”  le silence règne dans le dojo, avec une concentration et réactivité maximale.
  • Tous les élèves sans exception correspondent à l’état d’esprit du S.D.K, qui est le respect d’autrui et des consignes, et aussi d’apprendre notre enseignement avec de bonnes intentions.
  • Si une personne ne respecte pas les consignes ou autrui, cherche à blesser, apprend le S.D.K pour de mauvaises intentions, celle-ci est immédiatement exclue du S.D.K .
  • Nous comptons au S.D.K, en France une quinzaine d’écoles et 23 écoles dans le monde (Canada, USA, Nouvelle Zélande, Belgique, Suisse, Irlande). De ce fait nous avons de nombreux instructeurs et beaucoup d’élèves, qui ont tous comme point commun les principes du S.D.K mais aussi son bon état d’esprit .
  • Rejoindre le S.D.K veut dire intégrer une famille. Le S.D.K fait tout son possible pour venir en aide aux clubs qui en ont besoin, mais aussi pour transmettre un enseignement optimum à un maximum d’élèves et d’instructeurs. Par exemple les instructeurs actifs ne payent aucun stage, les élèves et instructeurs qui font l’effort de venir de loin ont le stage moins cher ou offert !
  • Au S.D.K tout le monde se retrouve avec plaisir pendant les entraînements, mais pas que, nous nous retrouvons aussi pendant des stages partout en France et à l’international. Ces stages vont de une à plusieurs journées, la journée étant dédiée à l’entrainement, après tout le monde se retrouve autour d’un bon repas pour continuer d’échanger et de consolider les liens comme une grande famille.
  • Des sorties et réunions sont aussi régulièrement organisées pour faire un point sur le S.D.K. autour d’un verre dans une ambiance conviviale. Entre les cours, les sorties, les réunions, les stages et formations, les membres du S.D.K ont l’opportunité de se côtoyer fréquemment tout au long de l’année !
  • Les passages de grade se font uniquement sur volontariat, il n’y a aucune obligation à les passer.
  • Au S.D.K. 2 types de grades INDÉPENDANTS sont proposés :
      • Enseignement dit «de Rue»
        • Il comprend les méthodes et techniques Krav Maga et close combat enseignées au S.D.K (civil, police, bodyguards et militaire)
      • Enseignement dit «profond»
        • Il comprend un enseignement plus approfondi pour parfaire l’efficacité du combattant. (principes profonds du combat, qui nous vient du kempo traditionnel)
  • Le grade de “Rue” (Krav-Maga) est représenté par la couleur de la ceinture : blanc, jaune, orange, vert, bleu, marron, puis viennent les grades ceinture noire (1er au 10ème DAN)  chacun représenté par une barrette dorée, qui est cousue du côté gauche de la ceinture.
  • Le grade “Principes profonds du combattant” (Kempo) est représenté par la couleur d’un fin ruban de tissu : blanc, jaune, orange, vert, bleu, marron, puis viennent les grades ceinture noire (1er au 10ème DAN), qui sont chacun représenté par une barrette rouge entre 2 blanches, qui est cousue du côté droit de la ceinture.
  • Le déroulement des passages de grade se fait habituellement en plusieurs étapes :
      • épreuves techniques où l’on demande de montrer des mouvements (chute, frappes pied, poing, coude, etc)
      • défense face une agression (coup de poing, pied, étreinte, étranglement, menace au sol, armes)
      • combats
  • Bien évidemment en fonction du grade présenté la difficulté varie dans les 3 étapes, la durée du passage de grade dure entre 2h et 4h.
  • Pour devenir instructeur S.D.K  il faut réunir deux conditions :
      • Avoir pour grade au minimum la ceinture marron qui permet d’enseigner aux enfants et aux débutants uniquement. Au delà, un instructeur peut enseigner à des élèves qui ont au moins un grade inférieur au sien, il en va de même pour faire passer les grades.
      • Avoir suivi la formation Instructor Course qui dure 7 jours (70 heures) et réussir son examen. Cette formation très complète et enrichissante est ouverte à tout le monde et peut être suivie plusieurs fois gratuitement ainsi que le passage à l’examen ! (seule la première fois est payante).
  • L’élève qui réunit ces deux conditions devient instructeur et est libre d’ouvrir son école.



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